
Itâs a photo taken by an amateur astronomer. The guyâs talented.
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đ DĂ©collage de Soyouz MS-09 Le 6 juin 2018, lâastronaute allemand Alexander Gerst, lâAmĂ©ricaine Serena Aunon-Chancellor et le Russe Sergey Prokopyev ont pris leur envol vers la Station spatiale internationale. đâš đž CrĂ©dit : ESA / NASA / Roscosmos #Space #nostrfr
LâĂ©toile BĂ©telgeuse nâest pas seule. Un compagnon plus petit et discret quâelle a Ă©tĂ© dĂ©couvert tout prĂšs. L'Ă©toile BĂ©telgeuse, au centre en orange, avec son Ă©toile compagnon en bleu Ă gauche, dans une image distribuĂ©e par l'Observatoire International Gemini, le 21 juillet 2025 International Gemini Observatory/NOIRLab/NSF/AURA/AFP - Handout Lâobservatoire Gemini, Ă HawaĂŻ, a enfin pu repĂ©rer une deuxiĂšme Ă©toile, tout prĂšs de BĂ©telgeuse. Il sâagit dâune Ă©toile environ 6 fois moins brillante que sa voisine, mais aussi beaucoup plus petite. Si BĂ©telgeuse se situe entre 500 et 1 000 fois la taille du Soleil, sa voisine a une masse Ă peine plus importante que notre astre (1,5 fois). Il sâagirait dâune Ă©toile jeune, qui nâest pas encore parvenue Ă sa sĂ©quence principale, câest-Ă -dire quâelle nâa pas encore commencĂ© Ă brĂ»ler lâhydrogĂšne dans son cĆur. Les deux compagnons sont Ă©galement plutĂŽt proches lâun de lâautre : environ 4 fois la distance entre la Terre et le Soleil, ce qui est court Ă lâĂ©chelle dâune Ă©toile aussi massive que BĂ©telgeuse. Câest dâailleurs la premiĂšre fois quâune deuxiĂšme Ă©toile est trouvĂ©e aussi proche dâune supergĂ©ante. #Astronomy #nostrfr
La galaxie Messier 82 Image composite réalisée à partir de données de Chandra, Spitzer et du télescope Hubble (HST). Les rayons X enregistrés par Chandra apparaissent en bleu, la lumiÚre infra-rouge enregistrée par Spitzer apparait en rouge, la lumiÚre visible émise par l'hydrogÚne et enregistrée par Hubble apparait en orange, la lumiÚre visible à courte longueur d'onde (bleu-violet) apparait en jaune-vert. Crédit : NASA/JPL-Caltech/STScI/CXC/UofA/ESA/AURA/JHU
Image Astronomique du Jour 22 juillet 2025 Une Supernova Ă Double DĂ©tonation CrĂ©dit image : ESO, P. Das et al. ; Ătoiles d'arriĂšre-plan (NASA/Hubble) : K. Noll et al. Explication : Certaines supernovas peuvent-elles exploser deux fois ? Oui, lorsque la premiĂšre explosion agit comme un dĂ©tonateur pour la seconde. C'est une hypothĂšse principale pour la cause du rĂ©manent de supernova (SNR) 0509-67.5. Dans ce systĂšme Ă deux Ă©toiles, la gravitĂ© fait que l'Ă©toile plus grande et plus diffuse cĂšde de la masse Ă un compagnon plus petit et plus dense, une naine blanche. Finalement, la tempĂ©rature proche de la surface de la naine blanche devient si Ă©levĂ©e qu'elle explose, crĂ©ant une onde de choc qui se propage Ă la fois vers l'extĂ©rieur et vers l'intĂ©rieur -- dĂ©clenchant ainsi une supernova de Type Ia complĂšte prĂšs du centre. Des images rĂ©centes du systĂšme SNR 0509-67.5, comme l'image prĂ©sentĂ©e du TrĂšs Grand TĂ©lescope au Chili, montrent deux coquilles avec des rayons et des compositions compatibles avec l'hypothĂšse de la double dĂ©tonation. Ce systĂšme, SNR 0509-67.5, est Ă©galement cĂ©lĂšbre pour deux mystĂšres persistants : pourquoi sa supernova brillante n'a pas Ă©tĂ© remarquĂ©e il y a 400 ans, et pourquoi aucune Ă©toile compagnon visible ne subsiste. #nostrfr #Astronomy
Lâimage la plus nette jamais prise de Io. La sonde Galileo de la NASA a capturĂ©, le 10 octobre 1999, lâimage la plus nette jamais prise de Io, lâune des lunes de Jupiter. Prise Ă seulement 617 kilomĂštres dâaltitude, lâimage rĂ©vĂšle des dĂ©tails extraordinaires, avec des structures aussi petites que 9 mĂštres de large â soit environ 50 fois plus de prĂ©cision que les images de la mission Voyager en 1979. La photo met en lumiĂšre le volcan Pillan, dĂ©voilant ses coulĂ©es de lave complexes, ses puits et ses dĂŽmes, tĂ©moins de lâintense activitĂ© volcanique qui fait de Io lâastre le plus gĂ©ologiquement actif du systĂšme solaire !
Hypérion, curieux satellite Photo : ©NASA/JPL/Space Science Institute Lors de sa longue mission autour de Saturne, la sonde Cassini nous a fourni de magnifiques images des satellites naturels de cette planÚte géante. Voici l'image la plus détaillée d'Hypérion obtenue à 33 000 km de distance. On découvre un corps peu dense, de forme irréguliÚre et ayant subi de nombreux impacts. Sa densité particuliÚrement faible, au regard de sa taille (280 km de long) implique une faible gravité et une grande porosité du satellite. Lors des impacts, le sol s'est surtout comprimé et les rares éjectas ne sont pas retombés à sa surface, car la gravité est trÚs faible. Cela lui confÚre cet aspect si particulier
La gigantesque galaxie elliptique NGC 1316 se trouve Ă environ 75 millions dâannĂ©es-lumiĂšre, en direction de Fornax, la constellation australe du Fourneau. En Ă©tudiant cette vue saisissante, les astronomes soupçonnent que cette galaxie gĂ©ante est entrĂ©e en collision avec sa voisine plus petite, NGC 1317, visible juste au-dessus, ce qui aurait provoquĂ© des arcs lointains et des coquilles dâĂ©toiles. CrĂ©dit image et copyright : Steve Mazlin, Warren Keller et Steve Menaker (SSRO / UNC / PROMPT / CTIO) #Astronomie #Astronomy #Space
Apollo 15 â Dave Scott ramassant la foreuse lunaire sur le site ALSEP lors de la deuxiĂšme sortie extravĂ©hiculaire (EVA-2). Scott est en train de prĂ©lever un Ă©chantillon profond du sol lunaire Ă lâaide des tiges de forage provenant du support visible Ă droite. #nostrfr #Space #Espace
NĂ©buleuse de la Patte de Chat â TĂ©lescope Spatial James Webb Cette visualisation explore une portion des structures rappelant les coussinets dâune patte de chat, situĂ©es dans une section de la NĂ©buleuse de la Patte de Chat, une vaste rĂ©gion locale de formation stellaire situĂ©e Ă environ 4 000 annĂ©es-lumiĂšre dans la constellation du Scorpion. Cette image, capturĂ©e en lumiĂšre proche infrarouge par le tĂ©lescope spatial James Webb, a Ă©tĂ© publiĂ©e pour cĂ©lĂ©brer le troisiĂšme anniversaire des opĂ©rations scientifiques de lâobservatoire. Depuis le dĂ©but de ses observations en juillet 2022, Webb ne cesse dâĂ©merveiller la communautĂ© scientifique et le grand public. Glissez vers le coussinet infĂ©rieur gauche, en traversant une myriade de petites Ă©toiles jaunes, jusquâĂ une zone caverneuse bordĂ©e de filaments de gaz et de poussiĂšre. LâĂ©clat nĂ©buleux de la rĂ©gion, reprĂ©sentĂ© en bleu, provient de la lumiĂšre intense dâĂ©toiles jeunes et massives. Dirigez-vous ensuite vers le coussinet supĂ©rieur, surnommĂ© âlâOpĂ©raâ en raison de sa structure circulaire et en gradins. En chemin, vous croiserez des panaches de poussiĂšre brun-orange aux densitĂ©s variables, ainsi que de petites touffes rougeoyantes oĂč la formation stellaire bat son plein â bien que de maniĂšre partiellement masquĂ©e. CrĂ©dits : Producteurs : Greg Bacon (STScI), Frank Summers (STScI) Traitement dâimage : Joe DePasquale (STScI) Musique : Joe DePasquale (STScI) Designers : Ralf Crawford, Leah Hustak, Christian Nieves, Alyssa Pagan (STScI) Images : NASA, ESA, ASC, STScI ; ESO/VISTA. #nostrfr #Astronomy #Space
Dunes autour de la calotte polaire de Mars capturĂ©es par Mars Odyssey. Cette image est une image pseudo-couleur prise par le rover martien 2001 Mars Odyssey de la NASA (National Aeronautics and Space Administration). Des dunes de sable sombre (vues en lumiĂšre visible) sont capturĂ©es autour de la calotte polaire de Mars. Dans cette image pseudo-couleur, les zones Ă basse tempĂ©rature sont reprĂ©sentĂ©es par des couleurs bleuĂątres et les zones Ă haute tempĂ©rature sont reprĂ©sentĂ©es par du jaune ou de l'orange. Les dunes sont Ă lâorigine sombres, mais les zones qui se sont rĂ©chauffĂ©es grĂące au soleil semblent briller en jaune dorĂ©. CrĂ©dit image : NASA/JPL-Caltech/ASU #nostrfr
On pourrait croire Ă des arbres sur Mars, mais il nâen est rien. Des groupes de traĂźnĂ©es brun foncĂ© ont Ă©tĂ© photographiĂ©s par la sonde Mars Reconnaissance Orbiter sur des dunes de sable rosĂ© en train de dĂ©geler, recouvertes dâune fine couche de givre. Lâimage ci-dessus a Ă©tĂ© prise en avril 2008, prĂšs du pĂŽle Nord martien. Ă cette pĂ©riode, le sable sombre situĂ© Ă lâintĂ©rieur des dunes devenait de plus en plus visible Ă mesure que le Soleil printanier faisait fondre la glace plus claire de dioxyde de carbone. Lorsquâil se trouve prĂšs du sommet dâune dune, ce sable sombre peut dĂ©valer la pente et laisser derriĂšre lui des traĂźnĂ©es sur la surface â des marques qui, Ă premiĂšre vue, ressemblent Ă des arbres dressĂ©s devant des zones plus claires⊠mais sans aucune ombre portĂ©e. Lâimage couvre environ un kilomĂštre, avec une rĂ©solution permettant de distinguer des objets dâenviron 25 centimĂštres. CrĂ©dit : NASA/JPL/University of Arizona
Un sol effondrĂ© et de la poussiĂšre tachent une falaise glacĂ©e sur Mars. CrĂ©dit : NASA/JPL/UniversitĂ© de lâArizona Lorsque la lumiĂšre du Soleil printanier gagne en intensitĂ© et rĂ©chauffe les parois abruptes constituĂ©es dâinnombrables couches de glace dâeau et de dioxyde de carbone, prĂšs du pĂŽle Nord martien, une partie de cette glace de COâ se sublime. Ce processus dĂ©clenche alors des chutes de sol meuble et de poussiĂšre, qui dĂ©valent jusquâĂ la base en terrasses. Le matĂ©riau ainsi mis Ă nu vient tacher la surface polaire encore givrĂ©e de sombres marques, traçant le chemin des avalanches, aisĂ©ment repĂ©rables depuis lâorbite par HiRISE. (Voir lâimage originale de HiRISE ici.) En orbite autour de Mars depuis mars 2006, la camĂ©ra HiRISE, Ă bord du Mars Reconnaissance Orbiter de la NASA, a mĂȘme rĂ©ussi Ă capturer certaines de ces coulĂ©es polaires en pleine action. Lâavalanche de teinte rouille prĂ©sentĂ©e ci-dessus est tombĂ©e de plusieurs centaines de mĂštres, depuis le cĆur dâun dĂ©pĂŽt stratifiĂ© de glace, et sâest Ă©talĂ©e sur prĂšs dâun kilomĂštre Ă travers les crĂȘtes gelĂ©es Ă la base de la falaise. Cette vue a Ă©tĂ© acquise le 13 septembre 2013.
Lâorbiteur ExoMars a capturĂ© une vue spectaculaire dâun cratĂšre de 8 km de diamĂštre dans Utopia Planitia, le plus grand bassin dâimpact du SystĂšme solaire (~3300 km !). On y voit des traces de glace, dâĂ©boulements et de vents sculptant la surface. #nostrfr #Astronomy
Voici lâobjet de Hoag, une galaxie annulaire rarissime Ă 600 millions dâannĂ©es-lumiĂšre. Un noyau jaune dâĂ©toiles anciennes, entourĂ© dâun anneau presque parfait dâĂ©toiles bleues, jeunes et brĂ»lantes. DĂ©couverte en 1950 par l'astronome Arthur Hoag, son origine reste mystĂ©rieuse : collision cosmique ? Vestiges dâune galaxie dĂ©chirĂ©e ? đž NASA | TĂ©lescope spatial Hubble #Astronomy #Astronomie #nostrfr
Exploration de VĂ©nus : une vision inĂ©dite ! Voici une vue globale de la surface de VĂ©nus. Il s'agit d'une mosaĂŻque radar créée Ă partir des donnĂ©es de la sonde Magellan, complĂ©tĂ©e par celles de Pioneer Venus. Les couleurs ? InspirĂ©es des mesures des sondes Venera 13 & 14, qui ont bravĂ© les enfers vĂ©nusiens pour nous les transmettre đšđ„. â ïž Ă noter : cette image est une reconstruction scientifique â VĂ©nus est en rĂ©alitĂ© toujours cachĂ©e sous une Ă©paisse couche de nuages âïž. Un travail fascinant signĂ© par le Solar System Visualization Project et lâĂ©quipe Magellan.
Image dâAstronomie du Jour 16 juillet 2025 La NĂ©buleuse de la Rosette vue par DECam CrĂ©dit image : CTIO, NOIRLab, DOE, NSF, AURA ; Traitement : T. A. Rector (UniversitĂ© d'Alaska Ă Anchorage), D. de Martin (NOIRLab de la NSF) & M. Zamani Explication : La nĂ©buleuse de la Rosette serait-elle aussi belle si elle portait un autre nom ? Sa dĂ©signation un brin terne dans le New General Catalog â NGC 2237 â nâenlĂšve rien Ă lâĂ©lĂ©gance de cette nĂ©buleuse en Ă©mission florale, ici capturĂ©e par la Dark Energy Camera (DECam) installĂ©e sur le tĂ©lescope Blanco de 4 mĂštres Ă lâobservatoire interamĂ©ricain du Cerro Tololo (NSF), au Chili. Au sein de la nĂ©buleuse se trouve un amas ouvert dâĂ©toiles jeunes et brillantes, dĂ©signĂ© NGC 2244. Ces Ă©toiles se sont formĂ©es il y a environ quatre millions dâannĂ©es Ă partir du matĂ©riau nĂ©bulaire, et leurs vents stellaires creusent une cavitĂ© au centre de la nĂ©buleuse, isolĂ©e par une couche de poussiĂšre et de gaz chaud. La lumiĂšre ultraviolette Ă©mise par ces Ă©toiles Ă©chauffĂ©es provoque la lueur caractĂ©ristique de la nĂ©buleuse environnante. La nĂ©buleuse de la Rosette sâĂ©tend sur environ 100 annĂ©es-lumiĂšre, se trouve Ă quelque 5000 annĂ©es-lumiĂšre de nous, et peut ĂȘtre observĂ©e avec un petit tĂ©lescope en direction de la constellation de la Licorne (Monoceros). Source : https://apod.nasa.gov/apod/astropix.html
đ Top 16 des Ă©toiles les plus brillantes de notre ciel nocturne đ âš 1. Sirius â La reine de la nuit ! Dans le Grand Chien, câest la plus brillante de toutes. Un duo stellaire Ă 8,6 a.l. âš 2. Canopus â GĂ©ante blanche du Navire Argo, Ă 310 a.l., elle brille surtout pour lâhĂ©misphĂšre sud. âš 3. Rigil Kentaurus â Le proche voisin ! Alpha du Centaure, triple systĂšme dont Proxima est lâĂ©toile la plus proche de nous. âš 4. Arcturus â Vieille dame orangĂ©e de la constellation du Bouvier. Elle est plus de 100 fois plus lumineuse que le Soleil ! âš 5. Vega â LâĂ©toile d'Ă©tĂ© du nord ! Dans la Lyre, câest un joyau bleu-blanc Ă 25 a.l. âš 6. Capella â Un quatuor stellaire dans le Cocher, souvent sous-estimĂ©. âš 7. Rigel â SupergĂ©ante bleue dâOrion, une vraie puissance Ă plus de 800 a.l. âš 8. Procyon â Petite mais brillante, elle fait Ă©quipe avec Sirius dans le Triangle d'hiver. âš 9. Achernar â Une Ă©toile rapide et aplatie du fleuve Eridan, visible surtout dans le sud. âš 10. BĂ©telgeuse â Colosse rouge et capricieux dâOrion, elle pourrait exploser⊠un jour. âš 11. Hadar â Compagne de la Croix du Sud, câest une gĂ©ante bleue massive. âš 12. AltaĂŻr â Ă peine 17 a.l., trĂšs rapide : elle tourne en 9h contre 27 jours pour notre Soleil ! âš 13. Acrux â Le joyau bleu de la Croix du Sud, un systĂšme multiple spectaculaire. âš 14. AldĂ©baran â LâĆil rouge du Taureau. Vieille, grosse et bien visible dans les nuits dâhiver. âš 15. AntarĂšs â Son nom signifie "rival de Mars", et pour cause : câest un monstre rouge dans le Scorpion. âš 16. Spica â Dans la Vierge, câest une binaire Ă©clatante de type B, vive et lointaine.
Observer Orion, câest assister en temps rĂ©el au cycle de vie des Ă©toiles. La constellation dâOrion illustre, en un seul champ visuel, les diffĂ©rentes phases de lâĂ©volution stellaire. Tout commence avec BĂ©telgeuse, une supergĂ©ante rouge situĂ©e Ă lâĂ©paule dâOrion. Cette Ă©toile massive, instable et en fin de vie, est sur le point dâachever son Ă©volution. Dans un dĂ©lai estimĂ© Ă moins de 100 000 ans â une Ă©chelle infime Ă lâĂ©chelle cosmique â elle explosera en supernova. Cet Ă©vĂ©nement cataclysmique produira un Ă©clat suffisant pour surpasser la luminositĂ© de la Lune, rendant temporairement la nuit plus brillante que le jour. Au centre de la constellation, le Baudrier dâOrion attire lâattention : il se compose de trois Ă©toiles alignĂ©es â Alnitak, Alnilam et Mintaka. Il sâagit de supergĂ©antes bleues, plus jeunes que BĂ©telgeuse mais partageant une mĂȘme destinĂ©e Ă©volutive : une phase de combustion rapide suivie dâune fin violente, sous forme de supernova, laissant derriĂšre elles des objets compacts tels que des Ă©toiles Ă neutrons ou des trous noirs. Sous le Baudrier se trouve la nĂ©buleuse dâOrion (M42), une rĂ©gion H II active. Ce vaste nuage de gaz ionisĂ© constitue une pĂ©piniĂšre stellaire, oĂč la contraction gravitationnelle de la matiĂšre donne naissance Ă de nouvelles Ă©toiles, dont certaines seront, Ă terme, les gĂ©antes de demain. En observant Orion, on ne voit pas simplement une figure cĂ©leste : on perçoit une chronologie dynamique, oĂč coexistent des Ă©toiles en fin de vie, des Ă©toiles en phase stable de combustion, et des protoĂ©toiles en formation. Câest un instantanĂ© de lâĂ©volution stellaire, Ă©talĂ© sur des millions dâannĂ©es, rendu visible en une seule nuit. Observer Orion, câest donc assister au fonctionnement continu de la mĂ©canique cĂ©leste â une dĂ©monstration saisissante de lâastrophysique en action. đ· CrĂ©dit image de fond : Akira Fuji
Clair de Lune : les images de LRO avec la musique de Claude Debussy. Cette vidéo de la NASA a été réalisée à partir des images de la sonde Lunar Reconnaissance Orbiter (LRO) pour montrer la beauté de notre satellite naturel, en particulier les effets de lumiÚre avec le lever et le coucher du Soleil. La visualisation a été créée pour accompagner une performance de Clair de Lune de Claude Debussy, par le National Symphony Orchestra Pops, dirigé par le chef d'orchestre Emil de Cou, au Centre Spatial Kennedy, les 1er et 2 juin 2018, dans le cadre de la célébration du 60e anniversaire de la NASA. Crédit : NASA's Scientific Visualization Studio #nostrfr #Astronomie #Astronomy #Space
Un regard sur lâespace đ đȘ